Phobos 1
Phobos, Victor Dixen
Titre: Phobos
Auteur: Victor Dixen
Maison d'édition: Robert Lafon, collection R
Genre: voyage, télé-réalité, amour, mars, colonisation
Résumé:
Résumé:
Six prétendantes d’un côté.
Six prétendants de l’autre.
Six minutes pour se rencontrer.
L’éternité pour s’aimer.
ILS VEULENT MARQUER L'HISTOIRE AVEC UN GRAND H
Ils sont six filles et six garçons, dans les deux compartiments séparés d’un même vaisseau spatial. Ils ont six minutes chaque semaine pour se séduire et se choisir, sous l’œil des caméras embarquées. Ils sont les prétendants du programme Genesis, l’émission de speed-dating la plus folle de l’Histoire, destinée à créer la première colonie humaine sur Mars.
ELLE VEUT TROUVER L'AMOUR AVEC UN GRAND A
Léonor, orpheline de dix-huit ans, est l’une des six élues. Elle a signé pour la gloire. Elle a signé pour l’amour. Elle a signé pour un aller sans retour.
MÊME SI LE RÊVE VIRE AU CAUCHEMAR, IL EST TROP TARD POUR REGRETTER.
Mon avis:
D'habitude, je n'aime pas lire les livres qui font succès très vite... Surtout les sagas, qui sont des dystopies, comme celle-ci, car j'ai été trop souvent déçue (notamment avec la série Divergente). Mais celle-ci me tentais énormément, alors j'ai craqué. Et pour ma plus grande joie, j'ai adoré! Je peux même vous dire que cette saga, ou du moins le premier tome, est largement au niveau du célèbre Hunger Games, dans le genre dystopie!
Ce roman est très très très addictif!! Victor Dixen nous fait entrer très facilement dans son récit. Et, même si on n'en a pas l'impression, il parvient, avec ses mots, à nous infiltrer dans un tout autre univers. C'est ainsi qu'à chaque fois que je reprenais la lecture de Phobos, j'oubliais complètement le monde réel.
Et cet univers est si riche, si dense qu'il en est fascinant!! Il faut dire que les personnages sont extrêmement attachants, notamment Léonor, la belle rousse rebelle et les autres filles (ou "prétendantes") à bord de la navette spatiale! Et puis les rebondissements s'enchaînent à une vitesse incroyable, qui fait que je n'ai eu de cesse d'être surprise! Du coup j'étais toujours sur le vif pour en savoir plus, j'avais faim d'informations (essayez d'imaginer une folle qui gratte la moindre parcelle de terre...)!
Je me suis totalement prise au jeu d'être à la fois lectrice dans la vie réelle et spectatrice de la chaîne Genesis, dans le roman. Et je peux vous dire une chose: j'ai eu moi aussi, grandement envie de faire partie de l'aventure spatiale!!
D'un point de vue personnel...
Je sais que d'autres chroniqueurs trouvent ce roman au thème avant-gardiste irrésistiblement intéressant et addictif, surtout car on se prend au jeu des programmations de la chaîne Genesis, mais je vois plutôt ce livre comme une révolte... Une dénonciation d'un monde superficiel, gouverné par l'argent et les apparences. C'est ici que se fait la comparaison avec la trilogie de Suzanne Collins, Hunger Games, qui raconte un jeu télévisé dans lequel 24 candidats sont envoyés dans une arène, à la mort, et tout ceci filmé et rediffusé 24 heures sur 24. Dans Phobos, c'est pareil, le gouvernement Américain, pour renflouer la dette, a décidé de vendre les institutions publiques, notamment la NASA, qui a été achetée par un grand groupe. Celui-ci, décide de convertir le programme destiné à aller sur Mars, en une émission de télé-réalité, qui envoie 6 filles et 6 garçons sur mars, dans le but de coloniser le plus rapidement cette planète. Mais, derrière ce programme, il n'y a aucun but réel, si ce n'est l'argent. Et, quand on avance dans la lecture du roman, on obtient certaines révélations qui démontrent cette réalité machiavélique. Ainsi, dans ce monde qui ne parait pas si éloigné du notre, je crois que Victor Dixen a voulu sonner l'alarme, disant "Attention, ceci est peut-être en train de nous arriver"...
Ce roman est très très très addictif!! Victor Dixen nous fait entrer très facilement dans son récit. Et, même si on n'en a pas l'impression, il parvient, avec ses mots, à nous infiltrer dans un tout autre univers. C'est ainsi qu'à chaque fois que je reprenais la lecture de Phobos, j'oubliais complètement le monde réel.
Et cet univers est si riche, si dense qu'il en est fascinant!! Il faut dire que les personnages sont extrêmement attachants, notamment Léonor, la belle rousse rebelle et les autres filles (ou "prétendantes") à bord de la navette spatiale! Et puis les rebondissements s'enchaînent à une vitesse incroyable, qui fait que je n'ai eu de cesse d'être surprise! Du coup j'étais toujours sur le vif pour en savoir plus, j'avais faim d'informations (essayez d'imaginer une folle qui gratte la moindre parcelle de terre...)!
Je me suis totalement prise au jeu d'être à la fois lectrice dans la vie réelle et spectatrice de la chaîne Genesis, dans le roman. Et je peux vous dire une chose: j'ai eu moi aussi, grandement envie de faire partie de l'aventure spatiale!!
D'un point de vue personnel...
Je sais que d'autres chroniqueurs trouvent ce roman au thème avant-gardiste irrésistiblement intéressant et addictif, surtout car on se prend au jeu des programmations de la chaîne Genesis, mais je vois plutôt ce livre comme une révolte... Une dénonciation d'un monde superficiel, gouverné par l'argent et les apparences. C'est ici que se fait la comparaison avec la trilogie de Suzanne Collins, Hunger Games, qui raconte un jeu télévisé dans lequel 24 candidats sont envoyés dans une arène, à la mort, et tout ceci filmé et rediffusé 24 heures sur 24. Dans Phobos, c'est pareil, le gouvernement Américain, pour renflouer la dette, a décidé de vendre les institutions publiques, notamment la NASA, qui a été achetée par un grand groupe. Celui-ci, décide de convertir le programme destiné à aller sur Mars, en une émission de télé-réalité, qui envoie 6 filles et 6 garçons sur mars, dans le but de coloniser le plus rapidement cette planète. Mais, derrière ce programme, il n'y a aucun but réel, si ce n'est l'argent. Et, quand on avance dans la lecture du roman, on obtient certaines révélations qui démontrent cette réalité machiavélique. Ainsi, dans ce monde qui ne parait pas si éloigné du notre, je crois que Victor Dixen a voulu sonner l'alarme, disant "Attention, ceci est peut-être en train de nous arriver"...
Citation:
"Aimer, ça ne veut pas dire tout accepter de l'autre, sans question ni remise en cause... Aimer, c'est se battre pour ce que l'on croit être le meilleur pour l'autre... même si l'autre ne le sait pas."
Et, peut-être que ça vous donnera plus envie, voici le trailer fait par Victor Dixen du premier livre de la série Phobos:
Cette citation est également celle que j'ai choisie pour ma chronique, tellement je l'aime ! Ce livre est une de mes plus grosses découvertes de l'année, et la meilleure en SF.
RépondreSupprimer💕💕 Victor Dixen a vraiment réussi à nous faire tous aimer son univers, c'est fou!
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